jeudi 29 octobre 2015

Salon des écrivains, à Rambouillet

Dimanche 8 novembre 2015
Salle Patenôtre 
64 Rue Gambetta
Rambouillet 

L'Association Arts et Lettres, présidée par Suzy Maltret, organise le 7ème Salon des écrivains de Rambouillet.
    
Cinquante huit écrivains seront  présents, dont Patrice Franceschi prix Goncourt de la Nouvelle 2015, Salah Stétié prix Saint Simon pour ses mémoires, Frédéric Tristan prix Goncourt 1983. Sera également présent Thierry de Carbonnières pour son livre sur la difficulté d'être comédien et comédien lui-même dans la série Plus Belle la Vie.

mercredi 28 octobre 2015

Sixième Salon du livre des Essarts le Roi




Dimanche 15 novembre 2015

Les invités d’honneur : 

Salle polyvalente de 9:30 à 12:30 et de 14:30 à 18:00 (Mairie, Rue du 11 novembre).

vendredi 23 octobre 2015

Tricentenaire de la mort du Roi à Versailles

Exposition du 27 octobre 2015 au 21 février 2016
    
Trois cents ans nous séparent du jour où Louis XIV est mort. Les célébrations du tricentenaire de cet événement sont l’occasion d’une exposition au château de Versailles : Le Roi est mortDécouvrez les rites funéraires royaux et leur persistance sous la République, en France et dans le monde entier.

1715 - La cérémonie funéraire prend fin, le duc de La Trémoille prononce ces mots "Le Roi Est Mort, Vive le roi !"

Informations pratiques
   
L'exposition est ouverte tous les jours sauf les lundis (et les 25 décembre et 1er janvier), de 9h à 17h30 (dernière admission à 16h45).
L'entrée est comprise dans les billets Passeport ou Château achetés sur place ou en ligne. 
Les billets Exposition achetés sur la billetterie en ligne permettent une entrée prioritaire.

vendredi 16 octobre 2015

La rentrée des Bébés lecteurs

Vingt-deux bébés faisaient leur rentrée hier, et la séance n'avait pas démarré que "les anciens" investiguaient la caisse de livres...

Anne et Dorothée ont utilisé un kamishibaï : une première, auprès de ce très jeune public ! Quelques notes sur le xylophone..., on aurait entendu une mouche voler...

Une souris verte, de Dorothée Duntze 
Ed. Callicephale - 2012

Une souris verte   Qui courait dans l'herbe   Je l'attrape par la queue   Je la montre à ces messieurs... : 12 planches que l'on fait défiler dans un petit théâtre de bois en égrainant la célèbres comptine.



Un petit livre a été lu :
Petit Lapin Blanc veut sa maman, de Marie-France Floury 
Ed. Gautier-Languereau - 2000
   
Petit Lapin Blanc est triste, sa maman est partie en voyage pour son travail. Elle lui manque beaucoup, mais son papa est là qui va tout faire pour le distraire.

Un dernier jeu de doigts...

... et les enfants ont plongé avec bonheur dans la caisse de livres et dans le panier de peluches que nous leur avions apportés.

Rendez-vous est pris pour une prochaine séance le 19 novembre 2015

mardi 13 octobre 2015

vendredi 9 octobre 2015

Où l'on prépare le Mois du Film documentaire en Accueil des classes

Novembre est le Mois du Film documentaire, en France et dans le monde. Le 29 novembre prochain, avec le soutien du département, la Bibliothèque de Saint-Léger-en-Yvelines organisera une projection publique du film de Yann Arthus-Bertrand - "La soif du monde", avec la participation du co-réalisateur Baptiste Rouger-Luchaire.

En prévision de cet événement, nous avons axé tous nos Accueils de classe - du CE1 au CM2 - sur le thème de l'eau dans le monde.

Les enfants ont eu leur mot à dire...
    
La rareté de l'eau, l'eau source de vie, l'accès à l'eau, l'eau insalubre, le traitement de l'eau, et comment se préparer à demain, car des solutions existent...

Le thème sera approfondi en classe et, au printemps prochain, la Mairie organisera pour l'école une visite de la nouvelle station d'épuration.

Les CP découvrent la bibliothèque

La bibliothèque ce n'est pas une librairie et les bibliothécaires n'habitent pas à la bibliothèque...  Aude, qui en connaissait tous les recoins, a fait découvrir aux autres ces livres "différents" : des livres qui font du bruit, et des livres pop-up.


Pour l'ordinateur et sa douchette, les codes barres et les "petites" cartes, le succès était assuré... 

Et pour clore la séance, la bibliothécaire a lu un livre qui ne les concernait pas du tout, même si personne n'ignorait ce qu'est une veilleuse et à quoi elle sert.
    
   
Le noir, de Lemony Snicket ; ill. Jon Klassen
Ed. Milan - 2015
   
Laszlo a peur du noir. Le noir n'a pas peur de Laszlo. Laszlo habite dans une maison. Le noir habite dans la cave. La nuit, le noir monte l'escalier jusqu'à la chambre de Laszlo. Mais, un soir, c'est Laszlo qui descend à là cave. Voici comment Laszlo a cessé d'avoir peur du noir...
        
Nos craintes ont été démenties : ils aiment "trop" ce livre !

dimanche 4 octobre 2015

Trouvailles de l'été, au Cercle de lecture

De nombreux titres et des avis contrastés

Le voyant, de Jérôme Garcin
Ed. Gallimard – 2015
Jacques Lusseyran est un écrivain-résistant que la France a négligé et que l'Histoire a oublié. Aveugle à huit ans suite à un stupide accident, résistant à vingt, déporté dans les camps de Buchenwald en 1944, rescapé, puis universitaire aux Etats-Unis, puisqu'en France les non-voyants ne peuvent enseigner à cette époque...  Une vie édifiante, mais surtout la révélation de ce regard dorénavant tourné vers l'intérieur, qui se mue en force, en courage et en clairvoyance. 
    
Ce livre est formidable et lumineux ! – NM
Jérôme Garcin s'intéresse aux destins exceptionnels, et c'est une fois de plus magnifique... Mais Lusseyran est un être à part et j'ai poursuivi le chemin, avec son récit autobiographique, présenté à la suite - BF


Et la lumière fut, de Jacques Lusseyran
Ed. du Félin – 2008
Après ce stupide accident où l'auteur perd la vue, toute la première partie conte la découverte de son monde intérieur et d'un univers où les objets parlent et vibrent, où la musique n'est que couleurs. 
Suivent les années de résistance, la création du réseau Défense de la France et du journal éponyme qui donnera naissance à France Soir… 
Puis l'arrestation et les mois de déportation, qui contre toute attente, se traduisent par un roman de vie, d'amour, d'oubli de soi.
      
A lire absolument ! - BF
     
   
*Charlotte, de David Foenkinos
Ed. Gallimard – 2014
Sans Foenkinos, qui connaîtrait aujourd’hui l’artiste-peintre allemande Charlotte Salomon, morte en octobre 1943 à Auschwitz ? Elle avait alors 26 ans et était enceinte de cinq mois. Toute sa vie n’aura été que tragédie, car elle a grandi dans une famille juive marquée par une terrifiante succession de suicides qui ne cesseront de l’obséder lorsqu’elle les découvrira. Mise peu à peu au ban de la société allemande pour cause de judaïsme, elle connaîtra une folle passion amoureuse avant de devoir s’exiler dans le midi de la France en 1939. En quatre ans à peine, elle y composera dans la fièvre toute son œuvre picturale, avant d’être rattrapée par la barbarie nazie.
J’avais beaucoup aimé l’élégance primesautière de “La délicatesse” et des “Souvenirs”. Mais ici, Foenkinos change totalement de registre : visiblement très ému par l’enquête qu’il mène sur les traces de la disparue, il en relate la sombre existence dans un style haché, haletant et souvent presque incantatoire. Au début, c’est un peu déconcertant. Mais on est vite séduit par cette facette inattendue de son talent - SW


*La splendeur de la vie, de Michael Kumpfmüller
Ed. Albin Michel – 2013
   
En juillet 1923, Franz Kafka – qui ne sera jamais appelé autrement que “le docteur” – rencontre Dora Diamant dans une petite station balnéaire de la Baltique. A 40 ans, il est miné par la tuberculose ; elle en a 25 et déborde de vie. Elle sera son dernier amour, probablement le plus accompli, et certainement le plus poignant. Car l’écrivain n’a plus qu’un an à vivre. Pendant ces quelques mois, Dora accompagnera son lent glissement vers la mort dans une Allemagne gangrenée par l’hyperinflation, l’antisémitisme et les prémices du national-socialisme.
La lecture voici des lustres du “Procès” et de “La métamorphose” m’avait laissé un souvenir mitigé de Kafka. Mais il est ici un homme de chair et d’os, auquel un amour tardif et l’attachement aux minuscules choses de la vie rendra le goût d’écrire et qui, paradoxalement, ne se sera jamais autant rapproché du bonheur que pendant sa longue agonie. Voilà de la très belle littérature - SW


*Les souvenirs, de David Foenkinos
Ed. Folio – 2013
Le roman commence par la mort du grand-père du narrateur, auquel il aurait tant voulu dire qu'il l'aimait... Il prend alors conscience de l'importance de sa grand-mère, placée en maison de retraite contre son gré, et qui disparaît dans la nature, sans crier gare. Ses deux aïeux sont le prétexte pour l'auteur à disséquer ses souvenirs, qui nous entraînent dans une réflexion sur les turbulences de la vie, la mort, la fuite du temps, les relations intergénérationnelles, la mémoire familiale, et l'urgence de vivre.
     
Voilà un livre très sympathique, avec des entrées multiples et un style léger. L'auteur égraine ça et là des souvenirs, de personnes étrangères au récit - souvenirs de van Gogh, de Nietzsche, de Serge Gainsbourg, du caissier de nuit de l'autoroute A13… , et ils ajoutent une profondeur indéniable au propos - CP


Anna Karenine, de Léon Tolstoï
Ed. Pocket
La quête d'absolu s'accorde mal aux convenances hypocrites en vigueur dans la haute société pétersbourgeoise de cette fin du XIXe siècle. Anna Karénine en fera la douloureuse expérience. Elle qui ne sait ni mentir ni tricher - l'antithèse d'une Bovary - ne peut ressentir qu'un profond mépris pour ceux qui condamnent au nom de la morale sa passion adultère. Et en premier lieu son mari, l'incarnation parfaite du monde auquel il appartient, plus soucieux des apparences que véritablement peiné. Le drame de cette femme intelligente, sensible et séduisante n'est pas d'avoir succombé à la passion dévorante que lui inspire le comte Vronski, mais de lui avoir tout sacrifié, elle, sa vie de femme, sa vie de mère. Vronski, finalement lassé, retrouvera les plaisirs de la vie mondaine...
    
Voilà un livre que je me promettais de lire un jour et bien m'en a pris ! Ce roman sur la société russe du XIXe n'a pas pris une ride, et j'ai particulièrement goûté le fait que les personnages décrivent eux-mêmes, avec précision, le pourquoi de leurs réactions. En dépit de sa taille, le livre se dévore - CP


Le jour des corneilles, de Jean-François Beauchemin
Ed. Libretto - 2013
Au fin fond de la forêt, une cabane en rondins abrite deux êtres hallucinés : un colosse marqué par la folie, et son fils orphelin de mère, livré à lui-même, nourri dans ses premiers jours avec le lait d’une hérissonne trouvée morte. Ce dernier se retrouve adulte devant un juge silencieux pour avouer des actes inqualifiables. Son témoignage l’amènera à révéler peu à peu, en toute ingénuité et dans une langue haute en couleur, l’incroyable histoire de sa vie, comme le destin tragique de son père.

C'est un coup de cœur : une langue truculente à la Rabelais, c’est déjanté et proprement jubilatoire ! – MM


*Tout ce qui est solide se dissout dans l’air, de Darragh McKeon
Ed. Belfond – 2015
Le 26 avril 1986, dans la centrale de Tchernobyl, quelque chose vient de se passer. Dans un minuscule appartement de Moscou, un petit prodige de neuf ans joue silencieusement du piano pour ne pas déranger les voisins. Dans une usine de banlieue, sa tante travaille à la chaîne sur des pièces de voiture et tente de faire oublier son passé de dissidente. Dans un hôpital non loin de là, un chirurgien s'étourdit dans le travail pour ne pas penser à son mariage brisé. Dans la campagne biélorusse, un jeune garçon observe les premières lueurs de l'aube, une aube rouge, belle, étrange, inquiétante...
Le livre m'a un peu déçue, toutefois le passage sur la façon scandaleuse dont on a traité les gens après coup est très intéressant et mérite le détour - CP
   
Le regard extérieur de l’auteur est presque trop critique et plutôt dérangeant. J'ai de loin préféré, sur le même sujet, la magnifique BD d'Emmanuel Lepage, présentée à la suite – HL

*Un printemps à Tchernobyl, d’Emmanuel Lepage
Ed. Futuropolis - 2012
     
26 avril 1986. À Tchernobyl, le cœur du réacteur de la centrale nucléaire commence à fondre. Un nuage chargé de radionucléides parcourt des milliers de kilomètres, sans que personne ne le sache… et ne s’en protège. C’est la plus grande catastrophe nucléaire du siècle, qui fait des dizaines de milliers de victimes. À cette époque, l'auteur a 19 ans, il regarde et écoute, incrédule, les informations à la télévision. Vingt-deux ans plus tard, en avril 2008, il se rend à Tchernobyl pour rendre compte, par le texte et le dessin, de la vie des survivants et de leurs enfants sur des terres hautement contaminées. 


*Quelques jours d’été, de Chabouté
Ed. Paquet – 2004
Un petit garçon de la ville confié à des gens de la campagne... Un vieux monsieur taiseux dont l'épaisse carapace craquera pour ce petit bonhomme. Un tournant dans la vie d'un petit garçon. Une histoire simple et intimiste ou même les rivières chuchotent... Et quand finalement sa mère revient le chercher et lui apprend la raison pour laquelle on l’a confié à ces gens, ces quelques jours d’été ont déjà pris une telle place dans la tête de l'enfant que la vie peut bien reprendre son cours…

On m'a proposé de lire une BD ! J’étais sceptique, car ce n'était pas mon truc… Et puis je suis tombée sous le charme : j'ai retrouvé des choses que j'avais vécues et beaucoup de résonances - une belle découverte – DM

*La sixième extinction, d’Elizabeth Kolbert
Ed. Vuilbert – 2015 [Prix Pullitzer 2015]
Depuis l'apparition de la vie sur terre, il y a eu cinq extinctions massives d'espèces. Les scientifiques estiment que le monde est en train de vivre la sixième, peut-être la plus dévastatrice de toutes. L'homme en serait la cause, en sera-t-il la victime ? La journaliste Elizabeth Kolbert, signe là une vaste enquête à la croisée du reportage de terrain et de l'histoire des idées, elle donne à voir la science en train de se faire, tout en donnant la parole à de grands savants tels que Cuvier et Darwin. Elle va à la rencontre de scientifiques sur leurs lieux de travail, pour raconter le destin d'espèces disparues ou menacées, et elle réussit à rendre compréhensibles des concepts souvent difficiles à appréhender.
    
Ce livre est extrêmement documenté et néanmoins passionnant. J'y ai appris énormément de choses - un prix Pullitzer 2015 qui n'est pas usurpé... - SV


*Le problème Spinoza, de Irvin Yalom
Ed. Le livre de Poche – 2014
Amsterdam, février 1941 : le Reichsleiter Rosenberg, chargé de la confiscation des biens culturels des juifs dans les territoires occupés, fait main basse sur la bibliothèque de Baruch Spinoza. Qui était donc ce philosophe, excommunié en 1656 par la communauté juive d'Amsterdam et banni de sa propre famille, pour, trois siècles après sa mort, exercer une telle fascination sur l’idéologue du parti nazi ?
L’auteur Irvin Yalom, professeur émérite de psychiatrie à Stanford depuis 1994, explore la vie intérieure de Spinoza, inventeur d’une éthique de la joie, qui influença des générations de penseurs. Il cherche aussi à comprendre Alfred Rosenberg qui joua un rôle décisif dans l'extermination des juifs d'Europe.
Réellement passionnant ! A lire absolument - GA

Anne-Marie, absente ce soir-là, a tenu à nous envoyer quelques lignes sur un titre, qui fait écho à la montée de nazisme évoqué dans le précédent livre.

Le tabac Tresniek, de Robert Seethaler
Ed. Sabine Wespieser – 2014
En août 1937, le jeune Franz Huchel quitte ses montagnes de Haute-Autriche pour venir travailler à Vienne. Sa mère lui a déniché un emploi de buraliste auprès d'un ancien ami. Le jeune homme découvre la ville et ses attraits ; il s'efforce de gagner le cœur de la belle Anezka, qui travaille dans un cabaret ; il se lie d'amitié avec le professeur Freud, un client du tabac, auprès de qui il tente de trouver réconfort face aux émois qui le rongent. Mais l'atmosphère devient de plus en plus inquiétante à Vienne, et Franz se trouve rapidement confronté à des actes de vengeance envers son patron, coupable de vendre sa marchandise à des Juifs. Le naïf jeune homme se mue en rebelle devant l'injustice et l'arrestation du buraliste.
Il s'agit d'un roman d’apprentissage, à l’humour corrosif - un coup de cœur ! - AML

*Les titres précédés d’un astérisque sont disponibles à la bibliothèque.
Le prochain Cercle de Lecture se réunira le vendredi 6 novembreà 20h00
avec pour thème : "le polar historique"

jeudi 1 octobre 2015

L'Heure du Conte fait sa rentrée

C'est sous la baguette de Dorothée et d'Anne que L'Heure du Conte et les séances de Bébés lecteurs reprennent cette année. 
Le public était au rendez-vous ! 
     
Le kamishibaï a ouvert la séance :


Jao le caméléon, de Jenner-Metz - Illustrations de Thierry Chapeau
Ed.Callicéphale

Jao le caméléon se lamente : il n'est pas vert, il n'est ni rouge, ni jaune, pas même bleu, ni marron. Il est de toutes les couleurs, sans en avoir une à lui. Dans la forêt tropicale de Madagascar, il rencontre le sage lémurien qui lui propose une solution...



Puis un album a été lu à voix haute :
Le Roi CraCra, d'Alex Sanders 
Ed. Gallimard Jeunesse

Le roi Cracra est épouvantablement sale, il se tient mal, et il met ses doigts dans son nez. Le roi Cracra vit au Château de la Crassouille et les reines ne savent plus que faire ! Quand une mystérieuse Mauricette ose enfin s'attaquer au nettoyage du château et du roi CraCra, la chute est des plus inattendue et le succès garanti....



Une dernière histoire trouvée sur Internet a clos la séance :

Oscar et la boîte à colère   
Oscar, le petit enfant poisson a une si grande colère en lui ... qu'il en avalerait toute la mer ! La maîtresse des petits poissons a une parade : ce sera la boîte à colère...



L'enchaînement était tout trouvé ! 
Trois nouveaux pensionnaires habitent désormais l'aquarium de la bibliothèque, et nous remercions la maman qui nous en a fait cadeau. Les enfants ont été sollicités pour leur trouver un nom... Après mures réflexions, le choix de Louise, Marie, Léa et tous les autres s'est arrêté sur :

Obélix, Oscar, et Némo

François Ier, l'application


L'exposition virtuelle de la Bibliothèque Nationale de France (BnF) se décline en application gratuite pour iPad et iPhone
   
Pavie, Marignan, Léonard de Vinci, la Renaissance... Se souvient-on que François Ier a fait du français la langue nationale, bâti ou restauré plus de onze châteaux et rassemblé une somptueuse bibliothèque ?